Tome 2 Le livre de poche - 790 pages
Résumé :
Il a suffit que l'ordinateur d'un laboratoire ultra-secret de l'armée américaine fasse une erreur d'une nanoseconde pour que la chaîne de la mort se mette en marche. Le Fléau, inexorablement, se répand sur l'Amérique et, de New York à Los Angeles, transforme un bel été en cauchemard. Avec un taux de contamination de 99,4%. Dans ce monde d'apocalypse émerge alors une poignée de survivants hallucinés. Ils ne se connaissent pas, pourtant chacun veut rejoindre celle que, dans leurs rêves, ils appellent Mère Abigaël : une vieille Noire de cent huit ans dont dépend leur salut commun.
Mais ils savent aussi que sur cette terre dévastée rôde l'Homme sans visage, l'Homme Noir aux étranges pouvoirs, Randall Flagg. L'incarnation des fantasmes les plus diaboliques, destinée à régner sur ce monde nouveau.
C'est la fin des Temps, et le dernier combat entre le Bien et le Mal peut commencer.
Mais ils savent aussi que sur cette terre dévastée rôde l'Homme sans visage, l'Homme Noir aux étranges pouvoirs, Randall Flagg. L'incarnation des fantasmes les plus diaboliques, destinée à régner sur ce monde nouveau.
C'est la fin des Temps, et le dernier combat entre le Bien et le Mal peut commencer.
Mon avis :
Vous trouverez ma critique pour le "premier" tome ici.
J'ai donc attendu quelques mois pour commencer le deuxième tome. Cette petite pause m'a certainement empêché de déprimer devant ces 1500 pages ^^.
Mais je suis arrivée au bout de ce monstre ! Et ça en valait vraiment la peine.
En ce qui concerne ce deuxième tome, la deuxième partie de l'histoire, donc, j'ai carrément adoré.
J'ai d'ailleurs préféré ce deuxième livre au premier, dans lequel l'action n'avançait pas beaucoup. Dans celui-ci, il y a plus d'action, de suspense, de rebondissements. J'avais envie de savoir la suite, envie d'en savoir plus.
Le fait de voir un peu comment ça se passe "de l'autre côté" (chez les méchants ^^) apporte un gros plus au récit. On y découvre le personnage dont on avait déjà entendu parler auparavant, mais là, on se trouve dans la peau de ceux qui le vénèrent ainsi que dans la sienne. J'ai énormément aimé ce personnage. Certes, c'est un gros méchant, bourré de pouvoir et d'influence, mais il a également des sentiments plus humains (la peur et la colère notamment), même s'il a de la peine à se l'avouer. Il essaie de rester impassible mais on sait qu'au fond de lui il ne l'est pas et qu'il a lui aussi ses faiblesses. Et son sourire... Sa fausse douceur... Ses sautes brusques d'humeur... Bref un personnage des plus intéressants.
Dans ce deuxième tome, je me suis beaucoup plus prise d'affection avec les personnages principaux.que dans le tome 1. Non seulement Fran, Abigaël, Nick, mais aussi et surtout Harold, Stu, Lloyd, Kojak (et oui, même lui !), Tom (c'est fou comme il a évolué depuis le début du récit !), La Poubelle... Tous sont des personnages particuliers avec des personnalités particulières,
Lloyd qui est partagé entre l'amour et la haine de l'homme noir,
Harold et ses doutes envers lui-même, sa haine qu'il garde à tout prix à l'intérieur, surtout faire en sorte que ça ne se remarque pas !!,
Stu je l'adore tout simplement,
Kojak extrêmement intelligent,
Tom très attachant,
La Poubelle, complètement dérangé dans sa tête,
et j'en passe.
Et ce livre, malgré sa dureté, a même réussi à me faire pleurer, il m'a donné des frissons.
J'ai beaucoup aimé la toute fin, elle nous laisse imaginer nous-même comment ça va continuer (et le cercle vicieux repart !)
Cette deuxième partie en vaut réellement la peine, je l'ai trouvée bien plus palpitante que la première (qui était un peu plus comme une mise en place du récit). Là, j'ai été "happée" par cette histoire, particulièrement à partir du tiers du récit. Dès la moitié, j'étais totalement accrochée. (Dommage qu'il ait fallu 1000 pages pour que ça commence à devenir si palpitant)
Et donc, avec un si gros nombre de pages, il est difficile de ne pas avoir de longueurs. C'est à mon avis le principal défaut de ce livre, mais ça concerne surtout le premier tome, le deuxième en comportant à mon avis moins.
Avec cette histoire de grippe porcine qui terrorise (j'exagère à peine ^^) actuellement la population, ça m'a encore plus plongée dans le récit, ça m'a fait pensé tout début du premier tome quand on voit la vitesse à laquelle le virus se transmet.
En résumé donc, je pense que vous l'aurez compris, j'ai trouvé ce livre excellent, même s'il m'a fallu du temps pour y venir à bout ! Une très "belle" lecture que je ne peux que recommander !
J'ai donc attendu quelques mois pour commencer le deuxième tome. Cette petite pause m'a certainement empêché de déprimer devant ces 1500 pages ^^.
Mais je suis arrivée au bout de ce monstre ! Et ça en valait vraiment la peine.
En ce qui concerne ce deuxième tome, la deuxième partie de l'histoire, donc, j'ai carrément adoré.
J'ai d'ailleurs préféré ce deuxième livre au premier, dans lequel l'action n'avançait pas beaucoup. Dans celui-ci, il y a plus d'action, de suspense, de rebondissements. J'avais envie de savoir la suite, envie d'en savoir plus.
Le fait de voir un peu comment ça se passe "de l'autre côté" (chez les méchants ^^) apporte un gros plus au récit. On y découvre le personnage dont on avait déjà entendu parler auparavant, mais là, on se trouve dans la peau de ceux qui le vénèrent ainsi que dans la sienne. J'ai énormément aimé ce personnage. Certes, c'est un gros méchant, bourré de pouvoir et d'influence, mais il a également des sentiments plus humains (la peur et la colère notamment), même s'il a de la peine à se l'avouer. Il essaie de rester impassible mais on sait qu'au fond de lui il ne l'est pas et qu'il a lui aussi ses faiblesses. Et son sourire... Sa fausse douceur... Ses sautes brusques d'humeur... Bref un personnage des plus intéressants.
Dans ce deuxième tome, je me suis beaucoup plus prise d'affection avec les personnages principaux.que dans le tome 1. Non seulement Fran, Abigaël, Nick, mais aussi et surtout Harold, Stu, Lloyd, Kojak (et oui, même lui !), Tom (c'est fou comme il a évolué depuis le début du récit !), La Poubelle... Tous sont des personnages particuliers avec des personnalités particulières,
Lloyd qui est partagé entre l'amour et la haine de l'homme noir,
Harold et ses doutes envers lui-même, sa haine qu'il garde à tout prix à l'intérieur, surtout faire en sorte que ça ne se remarque pas !!,
Stu je l'adore tout simplement,
Kojak extrêmement intelligent,
Tom très attachant,
La Poubelle, complètement dérangé dans sa tête,
et j'en passe.
Et ce livre, malgré sa dureté, a même réussi à me faire pleurer, il m'a donné des frissons.
J'ai beaucoup aimé la toute fin, elle nous laisse imaginer nous-même comment ça va continuer (et le cercle vicieux repart !)
Cette deuxième partie en vaut réellement la peine, je l'ai trouvée bien plus palpitante que la première (qui était un peu plus comme une mise en place du récit). Là, j'ai été "happée" par cette histoire, particulièrement à partir du tiers du récit. Dès la moitié, j'étais totalement accrochée. (Dommage qu'il ait fallu 1000 pages pour que ça commence à devenir si palpitant)
Et donc, avec un si gros nombre de pages, il est difficile de ne pas avoir de longueurs. C'est à mon avis le principal défaut de ce livre, mais ça concerne surtout le premier tome, le deuxième en comportant à mon avis moins.
Avec cette histoire de grippe porcine qui terrorise (j'exagère à peine ^^) actuellement la population, ça m'a encore plus plongée dans le récit, ça m'a fait pensé tout début du premier tome quand on voit la vitesse à laquelle le virus se transmet.
En résumé donc, je pense que vous l'aurez compris, j'ai trouvé ce livre excellent, même s'il m'a fallu du temps pour y venir à bout ! Une très "belle" lecture que je ne peux que recommander !
Livre inoubliable |
Sur l'ensemble des deux tomes :
Livre génial |
Le Fléau est un de mes préférés de King, et particulièrement le tome 2, comme tu l'as dit, à cause de l'intrigue bien sûr, très prenante, mais surtout les personnages. King est vraiment très doué je trouve pour arriver à créer des personnages extrêmement attachants (et c'est encore plus flagrant quand on les suit sur plusieurs livres comme dans le Fléau, ça, ou la Tour Sombre).
RépondreSupprimerBonne lecture du tome 3 ^^, j'ai hâte de connaître ton avis sur la fin
TROIS tomes ??? J'étais persuadée qu'il y en avait "que" 2 !! Je peux t'envoyer un mail pour te dire la fin du deuxième tome, que tu me dises si c'est la tout fin ? C'est peut-être une histoire d'éditions ?
RépondreSupprimerTu me stresses là ^^
Arff, effectivement dans mon édition c'était 3 tomes également - j'ai du les acheter vers 94/95, oh la vache, je me sens vieille d'un coup XD - de 510, 506 et 510 pages, donc je pense que ça correspond (si je te dis Russel Faraday on est raccord? ^^)
RépondreSupprimer500 * 3 --> 1500 et
RépondreSupprimer750 * 2 --> 1500 ça doit en effet correspondre ^^
Oui Russel Faraday ça me va très bien pour savoir que j'ai lu l'entièreté du fléau ^^
C'est un de mes préférés de S. King. Je vois que dans la nouvelle édition il n'y a que 2 tomes. Je pense comme toi : dans ton édition les tomes ont été scindés différemment pour éviter trop de tomes parce que moi aussi j'en avais 3 à l'époque (1999).En tout cas, je confirme ce que tu avances, il faut absolument le lire ! Un vrai régal !
RépondreSupprimerFaudrait que les maisons d'éditions se mettent d'accord entre elle (et avec elles-mêmes pour les rééditions !) sur le découpage des tomes, ça éviterait les confusions !
RépondreSupprimerPour ma part je ne connais pas très bien les romans de Stephen King, bien que j'en aie lu une demi douzaine (je pense), mais mon préféré de ces livres reste La ligne verte qui a été un énorme coup de coeur.
Le Fléau fait partie des livres avec lesquels j'ai découvert et suis devenue fan de Stephen King. Haletant, effrayant, émouvant, etc... C'est l'un de ceux qu'il ne faut pas rater selon moi.
RépondreSupprimerJe veux bien croire que ce livre t'a fait devenir fan de cet auteur !
RépondreSupprimerTes trois adjectifs résument parfaitement le livre. C'est un mélange pas commun mais tellement bien !
coucou,
RépondreSupprimermerci d'être passée sur mon blog, j'apprécie beaucoup le tien aussi, surtout parce que je remarque que l'on a le même genre de lecture ^^
bonne continuation et à bientôt sur la toile :)
Oui justement, j'ai de la peine à trouver de nouveaux blog avec des lecteurs qui lisent les mêmes genres de livres que moi, donc dès que j'en trouve un j'hésite pas à le rajouter à mes favoris
RépondreSupprimerA tout bientôt !
Bonjour Iani ! J'ai beaucoup aimé cette critique (enfin, ces deux critiques sur le Fléau). Etant un lecteur assez lent, j'ai toujours un peu peur de me lancer dans la lecture de tels pavés... mais Stephen King en disait tellement de bien de son propre roman dans "Ecriture"... et cette chronique a achevé de me convaincre : je l'ajoute ) ma propre làl, comme tu (ou vous ?) dis (ou dîtes ?) !
RépondreSupprimerPour le reste, blog très sympathique, je crois bien que j'y reviendrais !!
Tu, pas vous, c'est rare sur la blogosphère (et sur la communauté internet tout court) qu'on dise vous, et ce malgré les différences d'âge. Je ne sais pas ton âge, mais personnellement je n'ai que 21 ans donc je préfère qu'on me tutoie ^^
RépondreSupprimerEt sinon, je suis aussi une lectrice assez lente (je n'ai jamais beaucoup de temps à disposition), j'ai mis du temps pour tout lire le Fléau (2-3 mois en tout je pense), mais ça en valait la peine. Après c'est clair que je ça dépend pas mal du rythme de lecture, je ne connais pas le tien, mais je ne peux que te conseiller de prendre ton courage à deux mains et de te lancer
Je vais aller faire un tour sur ton blog, merci pour ta visite et ton commentaire
Je suis bien d'accord avec toi au sujet du tutoiement, je préfère largement cette façon de communiquer au vouvoiement (vive la langue anglaise où la question ne se pose pas !), et pas que sur internet d'ailleurs. Mais, par politesse, j'en demande quand même toujours l'autorisation... Et pour info, notre différence d'âge incite aussi au tutoiement puisque je ne suis "vieux" que de trois ans de plus ! ;-P
RépondreSupprimerCeci dit, merci encore pour ces renseignements complémentaires sur "Le fléau", je reviendrai te dire ce que j'en ai pensé d'ici... euh... la fin de l'année ?!?
A ce prochain message alors... ou à plus tôt peut-être sur un autre article !
En effet, le tutoiement est un point que j'adore dans la langue anglaise. Plus besoin d'hésiter, plus besoin de se gêner si on utilise le faux !
RépondreSupprimerJe patienterai pour lire ta critique du Fléau alors, je me réjouis